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Voir également Bergougnan, Etrangers et coloniaux, Oeuvres de guerre et emprunt national, Travail et main d'oeuvre, Usines travaillant pour la Défense nationale
Constituée en 1889, la société « Michelin et Cie » se spécialise dans l’industrie du caoutchouc. Quelques années avant la guerre, elle commence aussi à s’intéresser à l’industrie aéronautique. Durant le conflit, les usines de l’entreprise font partie des établissements travaillant pour la Défense nationale.
Notamment interventions de Clémentel en faveur de Michelin et du journal "l'Avenir".
Rapport adressé à M. Le Ministre de l’Instruction Publique et des Beaux-Arts sur les établissements de l’Université de Clermont en 1916-1917, rapporteur Auguste Audollent, Clermont-Ferrand, Imprimeries Mont-Louis, 1918.Ce document évoque notamment :-le cours de langue russe dispensé à la faculté des lettres que la « générosité de plusieurs grands industriels clermontois » avait permis d’instituer au mois de mars 1916.-les œuvres de guerre et les initiatives diverses prises par le personnel enseignant durant la guerre. Parle notamment de l’Hôpital de l’Observatoire, fondé par la faculté des sciences le 14 septembre 1914 et qui fonctionne avec le concours de l’Observatoire, de la municipalité d’Aubière et du Comité de Secours des Établissements Bergougnan. Les terrains disponibles de l’Observatoire ont été cultivés de manière à pourvoir aux besoins de l’hôpital en pommes de terre et en haricots. L’installation radiographique, organisée le 1er septembre 1914, continue de fonctionner à l’Hôpital n°101. Le service de stérilisation des objets de pansement fonctionne au laboratoire de chimie et à l’Usine Michelin. Cette dernière fournit « 60 boîtes de pansement par jour, nombre plus que suffisant pour tous les hôpitaux de Clermont. »
Voir également SURVEILLANCE DES INDIVIDUS (Passeports pour l’étranger)Les demandes de passeport français pour l’étranger sont parfois le fait d’employés des usines travaillant pour la Défense nationale ou travaillant dans des succursales à l’étranger, notamment Michelin et Bergougnan.
À noter : compte-rendu de l’évènement du 11 novembre 1918 à l’usine Michelin.
À noter : demandes d’Alice Kaltenbach (n°853), infirmière à l’Hôpital Michelin (contient également son passeport avec sa photographie en tenue d’infirmière).
À noter : demandes d’Eugénie Bertrand (n°1289), infirmière-major chef de l’Hôpital auxiliaire Michelin n°101 à Clermont-Ferrand (avec photographie), de Marcel Michelin (n°1147) avec photographie.
À noter : en mai 1917, demande de Pauline Bouchez, infirmière major à l’Hôpital Michelin (avec photographie).
Contient notamment un document mentionnant une course organisée par Michelin le 8 octobre 1916.
Documents concernant notamment les ouvriers espagnols Michelin dont les salaires ont été modifiés pour certains d’eux (mai 1918).
Documents divers évoquant :- l’« effervescence » régnant dans les milieux ouvriers de Clermont-Ferrand en vue d’obtenir une amélioration des salaires (juin 1917). Augmentations obtenues dans les établissements suivants : usines Bergougnan, Michelin, Carrias (fabricant de lingerie), Conchon-Quinette, Compagnie des tramways, Galeries du Centre. Mouvement qui risque de s’étendre aux autres usines.
Instructions, placards, affiches en couleur, organisation de la propagande, correspondance, brochures, tracts. À noter : documents concernant le Comité départemental de patronage de l’emprunt national : liste des membres (notamment Michelin).
Correspondance diverse de particuliers au Préfet ; réfugiés ; La Journée républicaine, correspondance politique quotidienne / Office républicain de propagande et d'action démocratique : n° du 27 février au 15 avril 1915 (lacunes).À noter : lettre d’Édouard Michelin concernant des essais effectués par les tanneries lyonnaises sur le tannage des peaux (3 novembre 1914).
Documents concernant l’application de l’instruction du 13 juillet 1916 sur l’organisation de défense contre aéronef (service d’avertissement pour l’extinction des lumières en cas de raids aériens ennemis) : trois alertes fictives ont eu lieu en septembre, octobre et septembre 1916.À noter :-lettre de l’entreprise Michelin demandant à être avertie 15 minutes avant le début des expériences d’extinction des feux pour parer aux inconvénients d’un arrêt brutal des ateliers (août 1916).-documents et brochures après-guerre sur les mesures de défense passive : notammentLe Danger aérien allemand, discours prononcés à la Sorbonne le 31 janvier 1923 par le général de Castelnau, André Michelin, Georges Claude, le Commandant Brocard et Henri de Kerillis, Paris, imprimerie de la Presse, 1923.
Documents concernant notamment les établissements Michelin (mai 1916).
À noter : levée de l’embargo mis sur les stocks d’enveloppes et de chambres à air existant dans des dépôts de la maison Michelin (septembre 1914).
À noter : documents sur le Comité d’Action Économique et sur les industries privées Michelin et Bergougnan.
Arrivée à Clermont-Ferrand d'un détachement de mécaniciens américains destinés à recevoir aux usines Michelin l'instruction nécessaire pour la construction et la réparation des avions et mise à disposition du terrain d'Aulnat pour une école d'aviation américaine.
Documents concernant les Sœurs de la Miséricorde de Clermont-Ferrand : aliénation du moulin de Chantoin au profit de la Manufacture Michelin (1918). À noter : courrier de « Messieurs Michelin et Cie » au préfet expliquant qu’à la demande de la Mairie de Clermont-Ferrand, ils ont accepté de construire le pont sur la Tiretaine, au débouché du Chemin de Chantoin. Cette construction doit permettre d’éviter les inondations survenues en 1916 et 1917 et de faciliter les moyens d’accès à ce quartier aux habitants et aux ouvriers des usines Hervais et d’Aviation (8 juin 1918).
10 plans conservés sous les cotes 40 Fi 12, 40 Fi 16, 40 Fi 18, 40 Fi 33, 40 Fi 55-56, 40 Fi 119-120, 40 Fi 144-145 ;
5 plans numérisés sous les cotes 40 Fi 17, 40 Fi 32, 40 Fi 97, 40 Fi 126 et 40 Fi 163 et conservés dans le dossier.
Voir également État d'esprit, Vie quotidienne
Revues de la presse parisienne (matin et soir) et provinciale (quotidienne) du 18 août au 2 septembre 1914
Documents évoquant notamment la mobilisation.
À noter : télégramme du 6 août 1914 sur les réquisitions pour nourrir ces « bouches inutiles ».
Avis de réception des communes du département concernant un pli du ministère de l’Intérieur relatif au fonctionnement du service du contrôle des communications télégraphiques en temps de guerre (août 1914).
Demandes diverses notamment d’affectation, de sursis, de transfert ou de maintien (en particulier entre août et novembre 1914).À noter :-pétition du 6 août 1914 des habitants d’Ambert demandant que leur maire, officier de territoriale à Clermont-Ferrand, soit autorisé à se rendre de temps à autre dans sa ville.-demande de Madame Joseph Chalus concernant l’affectation de sa voiture automobile au service d’ambulance pour le transport des blessés de la gare de Clermont-Ferrand aux divers points où ils seront évacués (août 1916).-demande de sursis pour deux employés de l’asile Sainte-Marie de Clermont-Ferrand (août 1914).-documents concernant la réquisition d’un local appartenant à la Compagnie des Tramways de Clermont-Ferrand et destiné à servir de lieu de dépôt des objets militaires recueillis sur les champs de bataille (septembre 1914).-demande de Madame Bérard, vice-présidente de l’Union féminine française concernant une demande pour un de ses protégés (octobre 1914).-demande d’affectation à Clermont-Ferrand d’A. Vimal de Fléchac, fabricant de chaussures en feutre (avenue Charras) : il fabrique des pantoufles et des sandales pour les blessés des hôpitaux militaires (octobre 1914).-demandes de sursis de certains employés des sucreries de Bourdon et de Saint-Beauzire (octobre 1914).-demande formulée par l’Union des Syndicats ouvriers du Puy-de-Dôme en vue d’obtenir la mise en sursis d’appel de M. Tourette, inspecteur départemental du travail (notamment une lettre concernant le chômage des ouvriers dans le Puy-de-Dôme) (octobre 14).-demande concernant le propriétaire de l’Hôtel Médicis à Chatelguyon réquisitionné (novembre 1914).-demande de sursis d’appel de Monsieur Louis Vexenat en congé de convalescence et qui a contribué à la création de l’industrie de jouets en bois au Mont-Dore (juin 1915).
Documents divers dont certains relatifs à la mobilisation :À noter :-lettre du ministère de la Guerre au général commandant du 13e corps d’armée visant à l’interdiction de compte-rendu par la presse des accidents de chemin de fer et événements similaires (4 août 1914).-télégramme concernant la destruction d’affiches suspectes (9 août 1914).-cas d’un allemand exerçant la profession de cocher de fiacre qui préfère ne pas se montrer au début de la mobilisation car il sait que la population lui sera hostile (6 août 1914).-demandes des maires- en particulier des communes rurales-qui souhaitent recevoir des nouvelles de la mobilisation, et notamment dans le but de faire cesser les « fausses nouvelles ».-liste des établissements scolaires à mettre à la disposition de l’autorité militaire en temps de guerre pour les soins des blessés ou des malades de l’armée (août 1914)-circulaire du ministre de l’Instruction Publique et des Beaux-Arts concernant les instituteurs qui ne sont pas appelés sous les drapeaux et qui doivent offrir leurs concours aux autorités civiles et militaires (2 août 1914)-décret portant « prohibition de sortie et de réexportation en suite d’entrepôt, de dépôt, de transit, de transbordement et d’admission temporaire, de divers produits et objets » (décret du 31 juillet 1914).
Notamment documents sur la mobilisation :À noter :-texte de la proclamation faite par la Municipalité de Thiers lors de la mobilisation (2 août 1914).-note du maire de Chatel-Guyon au préfet évoquant la mobilisation dans cette ville et l’arrivée de 480 blessés.
Instructions sur les télégrammes pouvant troubler l'ordre public (juillet 1914) ; télégramme concernant l'interdiction des réunions publiques pour la paix et contre la mobilisation (concerne notamment les meetings socialistes, anarchistes et syndicalistes) (juillet 1914) ; rapport de police sur une réunion de syndicalistes le 30 juillet 1914 et sur leurs intentions en cas de mobilisation générale (31 juillet 1914) ; télégramme concernant la surveillance des gares où doivent avoir lieu l'embarquement de troupes et des individus écoutant les conversations d'officiers et prenant des notes (1er août 1914) ; télégramme du 1er août 1914 du ministre de la Guerre informant le préfet de la mobilisation générale pour le dimanche 2 août.
Documents évoquant aussi la question des « fausses nouvelles ».
Documents concernant l’envoi d’une instruction secrète datée d’octobre 1913 réglant l’exercice des pouvoirs de police de l’autorité militaire sur le territoire national en état de siège et d’une affiche relative aux mesures de police consécutives à l’état de siège : documents envoyés aux commissaire central, spécial, commissaires de police de Riom, Thiers, Ambert, Issoire et Billom (juillet 1914).
Documents sur la déclaration de l’état de siège sur tout le territoire national (3 août 1914).À noter : un exemplaire duMoniteur du Puy-de-Dômedu 4 août 1914.
Télégramme annonçant la mobilisation générale le 2 août et affiche proclamant l'état de siège et les mesures de police consécutives.
Voir également Commémorations, Morts pour la France
À noter :-allocution prononcée le 26 octobre 1919 à l’occasion de la cérémonie d’inauguration et de bénédiction du monument érigé en l’honneur des enfants de Joze et de Tissonnières tombés au champ d’honneur ou morts des fatigues de la guerre.
Coupures de presse et discours manuscrits de Clémentel. Notamment : recueil de discours prononcés devant des monuments aux morts, nécrologies, discours prononcés à l'occasion de visites officielles de présidents de la République.
Documents concernant notamment : l’inauguration du monument aux morts de Courpière par Joseph Claussat (1921).
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Notamment invitations pour les inaugurations des monuments aux morts.
Notamment :-loi du 1er septembre 1920 instituant le 11 novembre comme une fête nationale.-cérémonie du 11 novembre 1920.-inauguration du monument aux victimes de Vingré à Riom (11 novembre 1923) (1 plan).-manifestation de l’Association Républicaine des Anciens Combattants à Riom (11 novembre 1924).-manifestations du 11 novembre entre 1928 et 1930.
Cérémonies en hommage aux Morts pour la Patrie au cimetière de Clermont-Ferrand (1915-1923).
À noter : agrandissement du cimetière de Pontgibaud pour pouvoir édifier le monument aux morts (1921).
À noter : projet de monument pour les instituteurs morts.
À noter : approbation pour la construction d’un monument aux morts pour les 122 instituteurs du département du Puy-de-Dôme (dans le jardin de l’École normale d’instituteurs).
Concerne notamment l'inauguration du monument aux morts des instituteurs morts pour la France en présence du ministre de l’Instruction publique et l'apposition d’une plaque à l’école primaire de la rue de Chateaudun à Clermont-Ferrand (12 mars 1922).
Les Archives départementales conservent des dossiers sur les monuments aux morts des communes du Puy-de-Dôme dans la sous-série 2 O (Administration et comptabilité communale) et éventuellement dans les archives communales déposées. La consultation de la presse (en particulier l’Aveniret leMoniteur) apporte également des informations sur les inaugurations de ces monuments survenues dans les années qui suivent la fin du conflit.
La sous-série 2 O est en cours de reclassement.Se reporter aux inventaires pour la sous-série 2 O et les archives communales déposées.
A. Fryszman, La victoire triste ? : Espérances, déceptions et commémorations de la victoire dans le département du Puy-de-Dôme en sortie de guerre (1918-1924), Thèse de doctorat, École des Hautes Études en Sciences Sociales (Paris), 2009. https://www.theses.fr/177439661
Voir également Affiches, Anciens combattants et vitimes de guerre, Commémoration, Monuments aux morts
Comprend :-la liste nominative des soldats morts pour la France pendant la guerre de 1914-1918-les allocutions prononcées dans l’église Saint-Pierre de Joze par l’abbé Adrien Adam, curé de cette paroisse, à l’occasion des services funèbres pour le repos de leur âme-la liste nominative et les états de service des autres combattants de la paroisseÀ noter :-allocution prononcée le 26 octobre 1919 à l’occasion de la cérémonie d’inauguration et de bénédiction du monument érigé en l’honneur des enfants de Joze et de Tissonnières tombés au champ d’honneur ou morts des fatigues de la guerre.-allocution prononcée dans l’église de Joze le 23 novembre 1919 à l’occasion de la Fête des Anciens Combattants.
Voir également SURVEILLANCE DES INDIVIDUS (Passeports pour l’étranger)Les demandes de passeport français pour l’étranger sont parfois réalisées par des personnes sollicitant la possibilité de se rendre sur les tombes de proches Morts pour la France.
À noter : documents concernant les cas d’exhumations illicites de corps de militaires.
Dossier contenant notamment un état du nombre des diplômes des morts pour la Patrie (1921).
Fonctionnement du service (pièces comptables).À noter : quelques documents concernant des transports de corps, exhumation et inhumation de Morts pour la France (décédés après la fin de la guerre pour certains).
Remboursement aux communes du transport et de la réinhumation des corps des Morts pour la France inhumés dans l’ancienne zone des combats.
À noter : quelques factures pour des soins donnés à des anciens combattants.
Les successions et testaments des soldats morts durant le conflit peuvent être consultés dans les archives de l’Enregistrement, grâce aux tables de de succession et absence (sous-série 3 Q). La recherche s’effectue en fonction du lieu de résidence et du bureau compétent. Si le soldat est mort sur le Front, il faudra consulter les registres de formule foraine.Les successions et testaments peuvent également être trouvés dans les minutes notariales, à la condition de connaître le nom du notaire et la date de l’acte. Les archives notariales conservent également les testaments des soldats signés, notamment à la veille de leur départ pour la guerre, et qui ont pu revenir vivants du conflit.
Convoi 1 : 24 mars 1921 ; convoi 2 : 20 avril 1921 ; convoi 3 : 6 mai 1921 ; convoi 4 : 7 juin 1921 ; convoi 5 : 15 juin 1921 ; convoi 6 :1er juillet 1921 ; convoi 7 : 20 juillet 1921 ; convoi 8 : 24 juillet 1921.-comprenant les listes des militaires par commune (gare d’arrivée).-remboursement aux communes par l’État des dépenses engagées pour les réinhumations des militaires.
Convoi 9 : 27 octobre 1921 ; convoi 10 : 4 novembre 1921 ; convoi 11 : 27 novembre 1921 ; convoi 12 : 5 décembre 1921 ; convoi 13 : 27 décembre 1921 ; convoi 14 : 21 janvier 1922 ; convoi 15 : 2 février 1922 ; convoi 16 : 12 février 1922 ; convoi 17 : 22 février 1922 ; convoi 18 : 25 février 1922 ; convoi 19 : 20 mars 1922, convoi 20 : 21 mars 1922.-comprenant les listes des militaires par commune (gare d’arrivée).-remboursement aux communes par l’État des dépenses engagées pour les réinhumations des militaires.
Convoi 21 : 10 avril 1922 ; convoi 22 : 11 avril 1922 ; convoi 23 : 30 avril 1922 ; convoi 24 : 3 mai 1922 ; convois 25 et 26 (provenant de Creil et de Bienne) : 20 mai 1922, convoi 27 : 8 juin 1922 ; convoi 28 : 13 juin 1922 ; convoi 29 : 29 juin 1922 ; convoi 30 : 11 juillet 1922 ; convoi 31 : 29 juillet 1922 ; convoi 32 : 11 août 1922 ; convoi 33 : 17 septembre 1922 ; convoi 34 : 21 septembre 1922 ; convoi 35 : 13 octobre 1922 ; convoi 36 : 12 décembre 1922 ; convoi 37 : 12 janvier 1923 ; convoi 38 : 2 février 1923 ; convoi 39 : 5 février 1923 ; convoi 40 : 24 février 1923 ; convoi 41 : 21 mars 1923 ; convoi 42 : 7 avril 1923 ; convoi 43 : 28 mai 1923 ; convoi 44 : 20 septembre 1923.-comprenant les listes des militaires par commune (gare d’arrivée).-remboursement aux communes par l’État des dépenses engagées pour les réinhumations des militaires.-liste des communes servant de gares de dernière destination.-liste des corps des convois 14 à 43 (n°34 manquant).
À noter : une liste des prisonniers de guerre allemands exhumés dont les familles ont demandé la restitution des corps (1924-1931).
Remboursements aux communes des frais occasionnés pour le transport des corps des militaires. Correspondance : demandes des familles pour des autorisations de rapatriement des corps et des demandes de permis gratuit de voyage pour assister aux exhumations des militaires Morts pour la France.À noter :- quelques demandes concernant des soldats inhumés à l’étranger.-en avril 1921 : demande de la mairie de Celles qui souhaite transformer une salle de classe en chapelle mortuaire destinée à recevoir les corps. (demande refusée : il est préférable d’utiliser un autre local).- document concernant la protestation d’une veuve contre le transfert du corps de son mari-transfert des corps des militaires décédés en Allemagne.-état indiquant, par commune, le nombre de familles susceptibles de demander le transport des corps des militaires décédés pendant la guerre et le nombre de demandes adressées au Ministère de la Guerre et des Pensions (16 février 1921).
Documents concernant la restitution aux familles des corps de leurs parents décédés hors de leur domicile (en application du décret du 28 septembre 1920).À noter : une liste des corps des réfugiés inhumés dans le Puy-de-Dôme dont le transfert a été réclamé (non datée).
Instructions, correspondance, dont listes de diplômes non remis aux familles faute d'indication suffisante et réclamations des familles
Bordereaux nominatifs classés par ordre d'envoi aux communes (indication des nom, prénom, grade, corps de troupe et domicile de la famille du soldat)
Documents concernant l’aménagement des carrés militaires (guerre 1914-1918) suite à la loi du 11 juillet 1931 relative à l’aménagement définitif des sépultures militaires et à la circulaire du 17 juin 1932 relative à l’aménagement et à l’embellissement des cimetières militaires.Documents concernant les sépultures militaires entre 1924 et 1925, notamment :-questionnaire envoyé aux communes pour déterminer l’indemnité à laquelle ces communes auront droit pour l’occupation d’une partie du cimetière communal par les tombes des militaires dont la sépulture perpétuelle doit être assurée aux frais de l’État. Ce questionnaire fait état des :-liste des militaires alliés décédés entre le 2 août 1914 et le 24 octobre 1919 et inhumés dans le cimetière communal.-liste des militaires des armées allemandes décédés et inhumés dans les mêmes conditions.-liste des militaires français décédés pendant cette même période et inhumés également dans le cimetière, à l’exclusion de ceux dont les corps ont été rendus à leurs familles aux frais de l’État ou transférés dans le cimetière par leurs familles elles-mêmes.À noter : liste nominative des soldats inhumés dans le cimetière de Chamalières et liste des communes ayant un cimetière militaire (Clermont-Ferrand, Chamalières, Chatel-Guyon, Issoire, La Bourboule, Le Mont-Dore, Riom, Royat, Thiers) (1925).
Liste nominative suite à la circulaire du 21 septembre 1916.À noter : quelques documents concernant des incidents et des plaintes déposées contre des prisonniers de guerre.
Militaires décédés : instructions concernant les mises en bière ; transport des corps.À noter : demande du maire du Mont-Dore concernant la mise en bière des militaires décédés dans sa commune (octobre 1914).
Documents concernant le secours accordé aux veuves et à défaut aux orphelins et aux ascendants. En fonction du grade du militaire, le secours varie de 150 frs pour la veuve d’un soldat ou d’un caporal à 600 frs pour la veuve d’un lieutenant-colonel ou colonel.À noter : requêtes de personnes demandant ces secours et unManuel formulaire des demandes de pensions des veuves et orphelins de militaires tués à l’ennemi ou morts de leurs blessures ou maladies reçues ou contractées à la guerrepar Edg. Trigant-Geneste (1915).
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