La Bête du Gévaudan

En juin 1764, une femme est attaquée par une bête féroce près de Langogne dans le Gévaudan. Quelques semaines plus tard, la bête reparait et à partir de cette date jusqu'en 1767, les attaques se multiplient sur le territoire actuel des départements de la Lozère, de la Haute-Loire, du Cantal.

 

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De nombreuses battues sont organisées par les autorités pour débusquer la bête mais en vain. En septembre 1765, Antoine, porte-arquebuse envoyé par le Roi, tue un loup d'une taille imposante qui est reconnu par des témoins comme étant la bête responsable des attaques. Toutefois, celles-ci continuent mais le Roi, convaincu qu'Antoine a abattu la bête du Gévaudan, refuse d'intervenir. Finalement, en 1767, un nommé Chastel tue un animal décrit comme semblable au loup mais avec des différences. A la suite de cela, les attaques cessent.

 

Les attaques de la bête en Haute-Auvergne expliquent que les Archives départementales conservent dans le fonds de l'intendance d'Auvergne un certain nombre de dossiers relatifs à la bête et à la lutte contre celle-ci.

 

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