Le 3 août 1787, écrit et envoyé le mémoire à M. Chauvassaignes.

Versailles, 26 juillet 1787.

On m'a remis, Monsieur, le mémoire que vous trouverés ci-joint au sujet du parti qu'on peut tirer des os des animaux, des arrêtes de poissons et des coquilles d'huïtres pour l'engrais des terres. Il paraît par une lettre qui est à la suitte de ce mémoire que, dans les environs de la ville de Thiers, on a fait avec succès usage de ce procédé. Je vous prie de vouloir bien le faire vériffier et de me faire part du résultat, en renvoyant le mémoire ci-joint.

J'ai l'honneurr d'être très parfaitement, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur.

Le baron de Breteuil.