Notice descriptive

  • Intendance d'Auvergne
    • Agriculture, ravitaillement
      • Elevage, bétail
        • Epizooties

1 C 359     Épizootie en Limousin, Dauphiné, Hautes-Alpes, Bourbonnais et Auvergne, morve des chevaux : informations sur les progrès de la maladie, mesures de police

Présentation du contenu :

Correspondances : de M. de Ballainvilliers, intendant d'Auvergne, et de son secrétaire, M. de Saint-Etienne ; de M. Turgot, intendant de Limousin ; de MM. Lafont, subdélégué d'Issoire ; Tournemire, de Mauriac ; Pagès de Vixouzes, d'Aurillac ; Vialard, de Lempdes ; Boudal, de Lezoux ; de M. Bredin, l'un des vétérinaires employés pour traiter les bestiaux malades ; - ordonnance de M. Turgot, prescrivant des mesures préservatrices et communiquée à l'intendant d'Auvergne pour agir de concert ; - état des habitants des paroisses de Peslières, de Parentignat et de Châteauneuf du Fraisse, élection d'Issoire, qui ont perdu des bestiaux par la maladie, reconnue la même que celle qui a sévi en 1745 ; - requêtes à fin de secours, présentées à l'intendant par des gens de Parentignat ; - indication par M. Viallard des symptômes de la maladie du charbon, qui a frappé le bétail dans les paroisses de sa subdélégation et des remèdes "cordiaux" employés dans le traitement ; - boutons chancreux attaquant à la langue le bétail des environs de Lezoux, même des chevaux ; remède employé utilement pour la guérison ; peu de bêtes ont péri ; - arrêt du conseil, autorisant l'entrée et la sortie des bestiaux, moyennant le payement d'un demi pour cent de leur valeur ; - état imprimé du nombre des bestiaux atteints de la maladie épidémique dans la paroisse du Meysieux en Dauphiné, du mois de juin au mois de septembre 1762, de ceux qui sont morts avant et après l'arrivée des élèves de l'Ecole royale vétérinaire, avec les noms des propriétaires et des élèves vétérinaires qui ont été employés à traiter les animaux malades ; - lettre de M. le duc de Choiseul, recommandant à l'intendant "de rendre une ordonnance qui enjoigne à tous les maîtres de poste qui se trouveront avoir des chevaux ou mulets attaqués ou soupçonnés de la maladie de la morve, d'en faire sur-le-champ leurs déclarations aux maires, échevins et syndics" ; correspondance de l'intendant et des subdélégués à ce sujet.

Dates extrêmes : 1760-1763