Présentation du contenu : Remontrances faites à l'intendant par les habitants de Saint-Amant ; mémoire justificatif pour Antoine Maugue, secrétaire de la ville ; - projet d'ordonnance de l'intendant, août 1736, homologuant une délibération des habitants de Saint-Amant, par laquelle ceux-ci font concession d'une petite rue qui ne leur est d'aucune utilité ; - correspondance de M. Guyot, châtelain de Saint-Amant, avec l'intendant, 1732, relativement aux difficultés que soulève le sieur Dourif, premier consul, au sujet de l'adjudication des fours banaux et du courtage ; - délibération du 2 avril 1736 : les consuls exposent que l'obligation où sont les boulangers de porter leur pâte aux fours banaux les gêne fort dans leur commerce et fait tort à la ville ; - ordonnance de l'intendant, décembre 1757, décidant que les adjudications des revenus patrimoniaux de Saint-Amant seront faites à l'avenir par le sieur Tournadre, subdélégué à Clermont ; - ordonnance de l'intendant, du 9 août 1753, rendue à la suite d'une délibération des habitants, et décidant que le droit de courtage, qui a été perçu jusqu'à présent sur chaque charge de vin achetée par les marchands et voituriers étrangers, sera également payé par ceux des habitants de Saint-Amant qui feront le même commerce, lors même que ce vin proviendrait de leur crû ; - avis de M. Chabrol, receveur des octrois de Clermont, sur l'opposition formée par les voituriers de Saint-Amant à l'exécution de la précédente ordonnance ; - extrait d'une délibération, du 11 août 1776, portant pouvoir au syndic de faire la recherche d'un acte passé entre les habitants et les fermiers du four banal ; la même délibération et d'autres, de 1776 à 1778, analysées à la suite, ont trait aussi à des demandes en surtaux ; - arrêt du Conseil d'Etat, du 23 juillet 1668, ordonnant qu'il sera imposé sur les contribuables aux tailles de la ville de Saint-Amant 29 815 livres à quoi montent les dettes communes de ladite ville, en quinze années, à commencer de 1669 ; - requêtes de plusieurs créanciers adressées à MM. de Berulle et Desmaretz de Vaubourg ; - état de distribution fait par M. Le Camus, en 1671, des sommes à payer aux créanciers de Saint-Amant.