Présentation du contenu : Certificat de M. Trudaine, intendant, attestant que Pierre Poisson, fils de Jean, écuyer, seigneur de Sainte-Geneviève, est propre pour entrer dans une compagnie de cadets, et que sa mère promet de lui donner 600 livres de pension (31 août 1730) ; - correspondance relative au sieur de Florat, cadet dans la compagnie de Strasbourg, et au sieur de Murat qui sollicite une place de cadet (1731) ; - lettre de M. d'Angervilliers au sujet des jeunes gens qui se sont introduits dans les compagnies sans être gentilshommes (13 janvier 1733) ; - lettres de M. Grassin, directeur des monnaies à Paris, au sujet des trois frères de Bar, cadets au régiment de Grassin, qui ne peuvent avancer faute d'être en état de prouver leur noblesse, les parents sont si pauvres qu'ils ne peuvent faire faire aucune recherche ; l'intendant écrit à M. Grassin qu'il a reçu des renseignements de M. de Bar qui demeure à Cebazat (1745-1746) ; - règlement concernant les cadets gentilshommes, créés dans les troupes du Roi par l'ordonnance du 25 mars 1776 (20 août 1776) (Paris, impr. royale, in-fol., 6 pages) ; - correspondance relative au certificat délivré à M. de Sarrazin pour entrer dans les cadets (1776) ; - lettres de M. de Méallet de Cours, au sujet de son fils qu'il désire placer comme cadet gentilshomme dans un régiment (1776-1777) ; - ordonnance du Roi qui règle l'âge auquel il sera expédié des lettres de sous-lieutenants aux cadets-gentilshommes de la compagnie établie à l'école royale militaire (11 janvier 1778) (Paris, impr. royale, in-fol., 2 pages) ; - lettre de M. Colinet de Niossel, lieutenant criminel au présidial d'Aurillac, adressant le certificat de noblesse de son neveu de Boissieu, qui doit entrer en qualité de cadet gentilhomme dans le régiment de La Sarre (1779) ; - lettre du même priant l'intendant de viser le certificat de noblesse de son fils aîné, que le vicomte de Tavanes vient d'admettre comme cadet au régiment de la Reine-infanterie (27 août 1780) ; - lettre de M. de Comblat demandant à l'intendant de viser le certificat de noblesse de son fils (1780).