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Voir également Infirmières, Réquisitions, Santé publique
AVERTISSEMENT : Peu de dossiers sont consacrés aux hôpitaux militaires mis en place dans le département durant la période de guerre. Quelques listes existent (notamment sous les cotes M 3480 et R 1573), mais elles demeurent largement incomplètes. L’histoire des hôpitaux installés dans des établissements privés (notamment dans les hôtels des villes thermales) est encore plus difficile à reconstituer, en se référant aux seules sources conservées aux Archives départementales. Au gré de la consultation des dossiers, quelques mentions ont pu apparaître et sont retranscrites dans les références ci-dessous. La consultation de la presse peut également apporter des informations sur ces structures éphémères.
Dès août 1914, une « ambulance » annexe de l’Hôpital temporaire n°11 est installée à Sainte-Marie. Elle laisse place à partir du 1er novembre 1914 à l’Hôpital bénévole n°6 bis chargé d’accueillir des malades militaires. Pour la plupart, il s’agit de militaires atteints de troubles psychiques placés provisoirement en observation et qui ne restent à l’Hôpital Temporaire que quelques semaines ou quelques mois. Les cas plus graves nécessitent un placement à l’asile Sainte-Marie. L’Hôpital bénévole n°6 bis fonctionnera ainsi jusqu’en décembre 1915, date de sa fermeture. Mais après cette date, l’asile continuera à accueillir des militaires présentant des maladies mentales.
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