Présentation du contenu : Arrêt du Conseil d'Etat, du 5 octobre 1777, qui proroge jusqu'au 1er janvier 1778 les délais fixés par les articles 8 et 9 de l'édit du mois d'avril dernier, concernant les communautés d'arts et métiers dans les villes du ressort du Parlement de Paris, et qui règle en même temps ce qui regarde les veuves des maîtres dans lesdites villes (placard, Paris, imp. royale) ; - déclaration du roi, qui étend aux communautés d'arts et métiers du ressort du Parlement de Paris, créées par l'édit d'avril 1777, les dispositions de la déclaration rendue le 18 août suivant, concernant les veuves de maîtres dans les corps et communautés d'arts et métiers de la ville de Paris, 30 janvier 1778 (Paris, imp. royale, in-4°, 3 pages) - arrêt de la cour de Parlement, du 12 novembre 1778, qui fait défenses à tous ceux qui exercent des arts et métiers dans la ville de Murat, de faire l'exercice d'aucune confrérie, congrégation ou association, ni d'exiger aucuns droits, sous quelque prétexte que ce soit, des maîtres, compagnons, apprentis ou ouvriers (Paris, P.-G. Simon, in-4°, 4 pages) ; - lettre de M. Necker au sujet d'un mémoire par lequel différents particuliers d'Aurillac réclament une rente sur le roi pour des offices d'auditeurs de différentes communautés dont il ont fait l'acquisition ; les communautés étant dissoutes, le roi a cessé de payer les rentes qu'il leur devait ; - mémoire concernant cette affaire, préparés par M. Pagès de Vixouze, subdélégué à Aurillac.