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Intendance d'Auvergne

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Inventaire

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  •    Santé publique et hygiène
    Dates extrêmes : 1697/1790

      • 1 C 1355     Mesures de police
        Présentation du contenu :

        Ordonnance de Joachim-Louis de Montagu, vicomte de Beaune, et son lieutenant général commandant pour Sa Majesté dans la province d'Auvergne et pays de Combraille, du 12 août 1721, relative aux mesures à prendre pendant la foire de N.-D. d'Août, pour empêcher la propagation de la maladie qui règne dans la Provence et le Gévaudan (placard, Clermont, P. Boutaudon) ; - procès-verbal dressé le 12 novembre 1720, par M. Antoine Astier de Chazeron, sieur des Astiers, châtelain de la ville de Thiers et subdélégué, à l'occasion d'une rixe survenue entre les garçons de ladite ville et la garde chargée de la surveillance des portes pendant la contagion ; ordonnance de M. Brunet d'Evry, commettant M. Desastiers pour procéder contre les sieurs Cottier des Barghons, François Dufour et Garnier la Vernelle ; - lettre de l'intendant à M. Dodun, du 24 novembre 1724, au sujet de la maladie épidémique qui règne à Aigueperse ; - ordonnance du roi, du 18 mai 1739, pour établir de nouvelles précautions sur les frontières, à l'occasion des maladies contagieuses qui continuent à se répandre en Hongrie et dans les provinces voisines (impr. Jean-Thomas Herissant, 1770).

        Dates extrêmes : 1720-1724
        Documents séparés :

        1 affiche conservée sous la cote 62 Fi 340.


        • 62 Fi 340     [1721 /08/12] De par le Roy, Joachim-Louis de Montagu (...) / Lieutenant Général des Armées du Roy. / (...) à cause de la Foire de Nôtre-Dame d'Août (...) il vient nombre de / Marchands Étrangers de plusieurs Provinces, / (...) où l'on soupçonne une espèce de Maladie Contagieuse (...). (...) Ordonnons que la Garde Bourgeoise / se fasse dans cette Ville (...) aux Portes, Lieux de passage (...). [Clermont-Ferrand], P. Boutaudon, [1721] - 46 x 36cm
          1 vue  - [1721 /08/12] De par le Roy, Joachim-Louis de Montagu (...) / Lieutenant Général des Armées du Roy. / (...) à cause de la Foire de Nôtre-Dame d\'Août (...) il vient nombre de / Marchands Étrangers de plusieurs Provinces, / (...) où l\'on soupçonne une espèce de Maladie Contagieuse (...). (...) Ordonnons que la Garde Bourgeoise / se fasse dans cette Ville (...) aux Portes, Lieux de passage (...). [Clermont-Ferrand], P. Boutaudon, [1721] - 46 x 36cm- Ouvre la visionneuse
          Dates extrêmes : 1721
          Documents séparés :

          Extrait de 1 C 1355.


      • 1 C 1356     Fièvres imputées aux rizières de Thiers.
        76 vues  - Fièvres imputées aux rizières de Thiers.- Ouvre la visionneuse
        Présentation du contenu :

        Lettre des échevins de Thiers, du 3 août 1741, au sujet des fièvres qui désolent la ville ; ils demandent la destruction des rizières ; l'intendant leur adresse une ordonnance de 500 livres ; - lettre de M. de Merville, subdélégué ; il ne croit pas ces maladies causées par les rizières ; - copie du placet que les habitants de Thiers veulent adresser au contrôleur général après en avoir obtenu la permission de l'intendant : la maladie, empêchant les ouvriers de travailler, augmente la misère ; ils demandent la remise des impositions de 1741 et de moitié de celles de 1742 ; - lettre de l'intendant adressant la requête ci-dessus au contrôleur général ; - nouvelle lettre de M. de Merville, faisant observer que si l'on détruit la rizière, les eaux croupissantes produiront encore longtemps et devantage les exhalaisons qu'on redoute ; - achat de riz pour les pauvres de la ville de Thiers ; - lettre autographe de Massillon, du lundi 7 août, priant l'intendant d'avoir pitié de la situation déplorable où se trouve la ville ; réponse de l'intendant du 18 août ; - lettre de M. de Merville, du 10 août 1741, annonçant que les curés ont préparé un état des familles qui ont besoin de secours ; lettre des collecteurs de la ville de Thiers demandant à l'intendant de suspendre la levée des deniers royaux ; ils joignent à leur requête des certificats du curé et des médecins ; - certificat par Michel Dulin, curé de la ville et paroisse Saint-Genès de Thiers ; - certificat par MM. Duvergier du Garet et Garnier, médecins ; - nouvelles lettres des échevins, août 1741 : la maladie est maintenant dans toutes les maisons ; lettre de M. Orry, contrôleur général, du 12 août 1741, il ne voit point de remède quant à présent et pense qu'il faut patienter ; - réponse de l'intendant du 14 août, il a envoyé un médecin ; - lettre de M. de Merville, du 14 août, se plaignant qu'on l'ait rendu suspect de partialité dans cette pitoyable affaire ; - lettre de M. l'abbé Brissart, adressant 1 000 livres pour les malades de Thiers de la part du cardinal de Fleury ; - lettre de l'intendant recommandant au contrôleur général la requête des habitants qui demandent la destruction de la rizière ; - lettre de M. de Merville, du 20 août : le nombre des malades approche de 1 300 ; les quinze balles de riz sont arrivées, mais il en faudrait encore autant pour le moins ; - lettre de MM. Darrot, chanoine, Audembron, Guillemot et Nourrisson, administrateurs de l'hôpital de Thiers, demandant des secours ; - état général des malades de la ville de Thiers avec les noms des personnes chargées de leur distribuer des secours ; - lettre de M. Gardon, protestant que la rizière n'est pour rien dans l'épidémie, il invoque le témoignage des dames de Bonlieu qui ne sont pas à dix pas de là ; - certificat des dames de Bonlieu ; certificat du sieur Haubert, chirurgien, et Sève, 1er consul, attestant qu'il n'y a pas eu plus de malades à Puy-Guillaume que les années précédentes et que personne ne se plaint de la rizière établie à la Batisse ; - lettre du contrôleur général, du 24 août 1741, adressant à M. Rossignol un mémoire qui lui a été remis par les entrepreneurs de la culture du riz en Auvergne ; M. Orry est d'avis qu'il faut attendre la récolte pour détruire la rizière ; - mémoire des entrepreneurs ; - réponse de l'intendant, le 31 août, il prétend que les raisons des entrepreneurs sont sans valeur et qu'ils ont eu le plus grand tort d'établir cette culture si près de la ville contre les défenses formelles qui leur avaient été faites ; - lettre de M. Morin, prévôt de la cathédrale, informant l'intendant que l'évêque a demandé des secours au contrôleur général ; - lettre de M. Henry, prêtre du séminaire, insistant pour obtenir l'autorisation de faire brûler les riz ; - lettre de Mme Dubois-Cluzel à sa s•ur Mme Argilet, près des Carmes, à Clermont, annonçant qu'il meurt à Thiers de 15 à 20 personnes par jour ; - lettre des échevins de Thiers, du 28 août, rendant compte des secours qu'ils distribuent ; - lettre de M. Lenormant, du 30 août, suppliant l'intendant de détruire la rizière.

        Dates extrêmes : 1741
        Importance matérielle : 37 pièces, papier.

      • 1 C 1357     Fièvres imputées aux rizières de Thiers.
        46 vues  - Fièvres imputées aux rizières de Thiers.- Ouvre la visionneuse
        Présentation du contenu :

        Lettre des échevins de Thiers, Héraud et Bodiment, du 1er septembre 1741, relative aux secours distribués dans la ville ; - lettre autographe de Massillon, datée du dimanche (3 septembre ?) rappelant à M. Rossignol qu'il avait promis de lui faire part des nouvelles qu'il attendait de la Cour ; - lettre autographe du même, du mercredi (6 septembre ?) ; - lettre de l'intendant au contrôleur général, du 6 septembre, l'informant que l'épidémie augmente tous les jours ; il adresse quelques plantes pour montrer que la rizière donne peu d'espérance ; - nouvel envoi de 1 000 livres par le cardinal de Fleury ; - lettre de M. de Merville, du 14 septembre ; il y a peu de nouveaux malades, mais il y en a qui rechutent et qui finissent par mourir épuisés ; - lettre du contrôleur général à l'intendant et réponse de celui-ci au sujet d'une somme de 2 000 livres accordée par le cardinal de Fleury aux pauvres malades de Thiers ; - mémoire des entrepreneurs de la culture du riz, adressé par M. Orry à M. Rossignol ; requête de Noël Chavillot, bourgeois de Paris, chargé par un privilège exclusif d'introduire en France la culture du riz ; les cautions de Noël Chavillot offrent de détruire la rizière aussitôt la récolte levée, si les propriétaires des terrains veulent bien résilier leurs baux ; - lettre de M. Faure, vicaire à Thiers, du 2 octobre, signalant à M. Rossignol les procédés des entrepreneurs de la rizière ; - lettre de M. de Merville, du 16 octobre 1741, assurant que le nombre des malades diminue, contrairement aux assertions de l'abbé Faure ; - lettre de M. Faure, du 29 octobre : la maladie reprend ; il insiste pour la destruction de la rizière et proteste contre les menaces indécentes du sieur Gardon ; - procès-verbal de mesurage du terrain planté en riz ; - nouvelles lettres de M. Faure des 5 et 12 novembre ; il se plaint encore de la mauvaise volonté et des violences du sieur Gardon ; - lettre de M. de Merville du 27 novembre 1741 annonçant que la rizière a produit peu de chose, de sorte que les entrepreneurs ne penseront pas sans doute à l'ensemencer de nouveau et que cet établissement tombera de lui-même.

        Dates extrêmes : 1741
        Importance matérielle : 20 pièces, papier.

      • 1 C 1358     Fièvres imputées aux rizières de Thiers.
        39 vues  - Fièvres imputées aux rizières de Thiers.- Ouvre la visionneuse
        Présentation du contenu :

        Arrêt du Conseil d'Etat, du 6 février 1742, ordonnant que les baux passés en 1740 au profit des sieurs Chavillot et Cie dans la ville et les environs de Thiers pour la culture du riz, seront résiliés ; lettres d'attache ; - lettre de M. Orry, contrôleur général, du 13 mai 1743, au sujet d'une demande que font les administrateurs de l'hôpital général de Thiers ; ils réclament le rétablissement des prés et héritages précédemment affectés à la culture du riz ; M. Orry demande l'avis de M. Rossignol ; - observations de M. de Merville sur l'instance produite au conseil en opposition à l'arrêt du 6 février 1742 ; - réponse de M. Rossignol au contrôleur général ; il reproduit ou résume le mémoire de M. de Merville ; - arrêt du Conseil d'Etat, du 20 août 1743, qui déboute les administrateurs de l'hôpital général de Thiers, et autres y énoncés, de leur opposition à l'arrêt du 6 février 1742 ; commettant l'intendant pour connaître des contestations qui pourront être élevées au sujet des terres, prairies, moulins et magasins occupés pour la culture du riz ; ordonnance de l'intendant au pied de l'arrêt, qui commet Bernard Tournadre, avocat en Parlement, pour l'instruction de l'affaire ; - correspondance de MM. Orry, Rossignol, de Merville et Gardon.

        Dates extrêmes : 1742-1743
        Importance matérielle : 3 pièces, parchemin ; 15 pièces, papier.

      • 1 C 1359     Fièvres imputées aux rizières de Thiers.
        5 vues  - Fièvres imputées aux rizières de Thiers.- Ouvre la visionneuse
        Présentation du contenu :

        Note des dépenses causées par l'épidémie de Thiers ; - lettre de M. Orry, du 13 novembre 1747, informant l'intendant qu'il a fait révoquer le privilège accordé à Noël Chavillot, en raison du peu de succès qu'a eu la culture du riz et des plaintes qu'elle a occasionnées ; - lettre de M. de Machault, du 8 août 1748, adressant à l'intendant un arrêt par lequel S.M. déclare "qu'elle rend à tous ses sujets la liberté de cultiver du ris dont ils jouissoient avant le privilège de Noël Chavillot" ; - lettre de M. Bertin, datée de Perpignan du 6 mars 1752, demandant à M. de Moras copie des arrêts du Conseil rendus à l'occasion des rizières établies dans la généralité d'Auvergne.

        Dates extrêmes : 1747-1752
        Importance matérielle : 4 pièces, papier.

      • 1 C 1360     Epidémies à Saint-Sauves, Perpezat.
        Présentation du contenu :

        Lettre de M. Ribeyre, subdélégué à Rochefort, du 15 avril 1749, sur les maladies qui règnent dans plusieurs paroisses et particulièrement dans celles de Perpezat et de Saint-Sauves ; - mémoire sur cette maladie, description des symptômes ; - l'intendant envoie MM. Tixier et Sédilot, médecins ; - lettre de M. Toury, curé de Saint-Sauves, du 22 avril 1749, informant M. Ribeyre de la cessation miraculeuse de la maladie ; - lettre des médecins rendant compte de leurs opérations ; - lettre de M. Ribeyre annonçant que la maladie a cessé, mai 1749.

        Dates extrêmes : 1749
        Importance matérielle : 10 pièces, papier.

      • 1 C 1361     Epidémies à Besse, Les Martres-de-Veyre, Mirefleurs, Lempdes, Chapdes, Bromont.
        Présentation du contenu :

        Besse : lettre de M. Godivel, subdélégué, du 15 juillet 1755, au sujet des fièvres putrides malignes qui règnent à Besse ; peu de morts ; certificat en faveur du médecin. - Martres-de-Veyre : lettres de l'intendant des 19 et 21 mai 1757 adressant à M. de Moras, contrôleur général, des rapports de M. Duvernin, médecin à Clermont, sur l'épidémie des Martres ; mémoires de M. Duvernin des 7 et 15 mai 1757 ; pièces de dépenses. - Mirefleurs : mémoires sur les maladies qui règnent dans cette paroisse, par M. Duvernin, des 16 et 26 mars 1758 ; correspondance de l'intendant avec MM. de Boullongne, Saint-Florentin ; requête de M. Marmontel, chirurgien, qui a soigné les malades de Mirefleurs ; certificats en sa faveur de MM. Duvernin et de la Garde-Malbos, curé de la paroisse. - Lempdes : mémoire de M. Duvernin, du 6 juin 1758 ; état des remèdes fournis. - Mémoires de M. Monestier, agrégé au collège de médecine de Clermont, des 5 et 12 avril 1758, sur la maladie qui règne à Aubière ; lettre de l'intendant au comte de Saint-Florentin et au contrôleur général ; état des remèdes fournis. - Chapdes : rapports de J.-B. Chambon, docteur en médecine, sur l'épidémie de Chapdes. - Rapport de M. Tixier, du collège des médecins de Clermont, du 27 mai 1759, sur l'épidémie qui règne à Bromont.

        Dates extrêmes : 1755-1760
        Importance matérielle : 37 pièces, papier.

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